Pour tous les pro­fes­sion­nels du search et du SEO la péri­ode que nous tra­ver­sons est totale­ment folle. Intel­li­gence arti­fi­cielle, automa­ti­sa­tion, no code, Google leaks, nou­veaux com­porte­ments des util­isa­teurs…

Je suis con­sul­tant depuis 2009. Jamais je n’avais du autant mod­i­fi­er mes approches, mes process. Jamais je n’avais eu le besoin impératif d’ac­quérir autant de nou­velles com­pé­tences en si peu de temps (et je pense que c’est le cas de tous mes col­lègues dans le monde).

On fait le point…

 

1. L’IA : la révolution chatGPT

 

L’ap­pari­tion de Chat­G­PT fin 2022 a mar­qué une rup­ture rad­i­cale. Pour un con­sul­tant SEO de ma généra­tion (en ter­mes tech­niques, dans notre jar­gon pro, on appelle ça… « un vieux »), dia­loguer avec une machine capa­ble de génér­er des textes cohérents rel­e­vait jusqu’i­ci de la sci­ence-fic­tion.

Cette révo­lu­tion a immé­di­ate­ment boulever­sé le SEO. Notre méti­er, notam­ment fondé sur la créa­tion et l’op­ti­mi­sa­tion de con­tenus web, s’est trou­vé face à des out­ils capa­bles de pro­duire des arti­cles à l’in­fi­ni. Une capac­ité aus­si fasci­nante qu’in­quié­tante.

Impact sur la création de contenu

L’ar­rivée de Chat­G­PT, suiv­ie rapi­de­ment par Claude et d’autres mod­èles de lan­gage avancés, a trans­for­mé nos méth­odes de tra­vail. Ces out­ils nous per­me­t­tent désor­mais de génér­er rapi­de­ment des ébauch­es d’ar­ti­cles, d’en­richir nos con­tenus exis­tants et même de refor­muler nos textes pour les ren­dre plus per­cu­tants. Un gain de pro­duc­tiv­ité con­sid­érable, mais qui néces­site une approche réfléchie.

Car si ces IA excel­lent dans la créa­tion de con­tenus factuels et la struc­tura­tion d’in­for­ma­tions, elles ne rem­pla­cent pas l’ex­per­tise humaine. Mon expéri­ence quo­ti­di­enne m’a mon­tré qu’elles sont des assis­tantes pré­cieuses mais requièrent (pour l’in­stant) une super­vi­sion con­stante. La qual­ité des con­tenus générés dépend forte­ment de la pré­ci­sion de nos prompts et de notre capac­ité à véri­fi­er, enrichir et per­son­nalis­er leurs pro­duc­tions.

Les nouveaux moteurs de recherche IA : au-delà de Google

L’émer­gence d’outil tels que Per­plex­i­ty et l’in­té­gra­tion du web à Chat­G­PT mar­quent une nou­velle ère dans la recherche d’in­for­ma­tions. Ces out­ils ne se con­tentent plus de lis­ter des résul­tats : ils analy­sent, syn­thé­tisent et répon­dent directe­ment aux ques­tions des util­isa­teurs. Pour nous, experts SEO, c’est un change­ment de par­a­digme majeur. Nos con­tenus doivent désor­mais être opti­misés non seule­ment pour Google, mais aus­si pour ces nou­veaux sys­tèmes con­ver­sa­tion­nels.

Cette évo­lu­tion nous impose de repenser notre approche du référence­ment. La struc­tura­tion des don­nées, les sché­mas de bal­is­age et la clarté des répons­es devi­en­nent plus cru­ci­aux que jamais. Un con­tenu bien struc­turé et directe­ment exploitable par ces IA aug­mente sig­ni­fica­tive­ment nos chances d’être cités comme source de référence.

La transformation des comportements de recherche

Le change­ment le plus pro­fond con­cerne peut-être les habi­tudes de recherche des util­isa­teurs. De plus en plus d’in­ter­nautes, par­ti­c­ulière­ment les plus jeunes, se tour­nent vers l’IA pour leurs recherch­es quo­ti­di­ennes. Ils n’at­ten­dent plus une liste de liens à explor­er, mais des répons­es instan­ta­nées et syn­thé­tiques.

La part de marché de Google est passé de 93,37 % début 2023 à 89,33 % en octo­bre 2024 (source : cmswire.com). Rien de dra­ma­tique, mais la ten­dance est bien là…

Selon Gart­ner, le traf­ic des moteurs de recherche tra­di­tion­nels pour­rait chuter de 25% d’i­ci 2026 (voir source)

Cette évo­lu­tion nous pousse à adapter nos straté­gies de créa­tion de con­tenu. Les for­mats ques­tions-répons­es, les textes courts et per­cu­tants, la struc­tura­tion claire de l’in­for­ma­tion devi­en­nent essen­tiels. Notre défi n’est plus seule­ment d’être vis­i­ble dans les résul­tats de recherche, mais d’être suff­isam­ment per­ti­nent et struc­turé pour que l’IA nous con­sid­ère comme une source fiable et exploitable.

L’in­tel­li­gence arti­fi­cielle n’est pas une sim­ple évo­lu­tion tech­nologique pour le SEO, c’est une révo­lu­tion qui redéfinit les fon­da­men­taux de notre méti­er. Elle nous oblige à repenser nos méth­odes de tra­vail, tout en ren­forçant para­doxale­ment l’im­por­tance de l’ex­per­tise humaine dans la créa­tion et l’op­ti­mi­sa­tion de con­tenus vrai­ment per­ti­nents.

 

2. L’automatisation : démultiplier l’efficacité

 

Pour exploiter au mieux ces nou­veaux out­ils IA, l’au­toma­ti­sa­tion a pris une dimen­sion totale­ment nou­velle avec l’émer­gence d’outils No Code (acces­si­ble à des non-développeur) comme Make et N8N. Ces plate­formes per­me­t­tent aujour­d’hui de con­necter plusieurs mod­ules IA pour créer des chaînes de pro­duc­tion de con­tenu entière­ment automa­tisées, trans­for­mant rad­i­cale­ment notre approche du SEO à grande échelle.

Une chaîne de production intelligente et interconnectée

L’au­toma­ti­sa­tion mod­erne du SEO va bien au-delà de la sim­ple pro­gram­ma­tion de tâch­es répéti­tives. Elle per­met de créer des work­flows sophis­tiqués où chaque étape nour­rit la suiv­ante. Prenons l’ex­em­ple d’une chaîne de pro­duc­tion de con­tenu typ­ique : tout com­mence avec un mod­ule qui sur­veille un fichi­er Excel ou un Google Dri­ve con­tenant nos mots-clés cibles. Dès qu’un nou­veau terme est ajouté, le proces­sus se met en marche automa­tique­ment.

Le sys­tème analyse alors les résul­tats Google pour ce mot-clé, scru­tant les con­tenus des con­cur­rents posi­tion­nés en pre­mière page. Cette analyse automa­tisée ne se con­tente pas de col­lecter des don­nées : elle déter­mine l’in­ten­tion de recherche dom­i­nante et iden­ti­fie les angles morts, ces aspects du sujet que per­son­ne n’a encore traités. C’est là que réside notre oppor­tu­nité de dif­féren­ci­a­tion.

Interconnexion des API et workflows optimisés

La puis­sance de ces sys­tèmes réside dans leur capac­ité à faire com­mu­ni­quer dif­férents out­ils via leurs API. Un mod­ule spé­cial­isé enri­chit automa­tique­ment notre com­préhen­sion du sujet en allant chercher des mots-clés du même champ lex­i­cal. Ces don­nées ali­mentent ensuite la créa­tion d’un brief détail­lé, qui servi­ra de base à la rédac­tion.

La vraie révo­lu­tion inter­vient dans la ges­tion du proces­sus de créa­tion. Le work­flow dis­patche automa­tique­ment les mis­sions entre dif­férents rédac­teurs, selon leurs spé­cial­ités. Les textes pro­duits passent ensuite par plusieurs étapes de relec­ture et de cor­rec­tion, cha­cune assurée par des inter­venants dif­férents, garan­tis­sant ain­si un niveau de qual­ité opti­mal.

Création de contenu à l’échelle

L’au­toma­ti­sa­tion atteint son apogée dans la final­i­sa­tion du con­tenu. Des mod­ules spé­cial­isés génèrent automa­tique­ment les visuels néces­saires, que ce soit des images ou des vidéos, pen­dant que d’autres pré­par­ent la mise en ligne du con­tenu. Le référenceur n’a plus qu’à effectuer une dernière val­i­da­tion avant pub­li­ca­tion, s’as­sur­ant que le con­tenu répond par­faite­ment aux exi­gences de qual­ité et aux objec­tifs SEO.

Cette indus­tri­al­i­sa­tion intel­li­gente du proces­sus SEO représente un change­ment de par­a­digme. Nous ne sommes plus dans l’au­toma­ti­sa­tion sim­ple de tâch­es isolées, mais dans la créa­tion de véri­ta­bles usines à con­tenu, où chaque étape est opti­misée et inter­con­nec­tée avec les autres. Le gain de temps est con­sid­érable, per­me­t­tant aux équipes de se con­cen­tr­er sur les aspects stratégiques et créat­ifs plutôt que sur les tâch­es répéti­tives.

 

3. Google Leaks : ce qu’on a vraiment appris

 

Les fuites des doc­u­ments internes de Google, courant 2024, ont représen­té moins une révo­lu­tion qu’une con­fir­ma­tion pré­cieuse de nos pra­tiques. Elles nous ont surtout per­mis de mieux com­pren­dre le fonc­tion­nement interne du moteur et d’affin­er nos straté­gies d’op­ti­mi­sa­tion.

Une révélation plus qu’une révolution

Ces leaks ont surtout validé ce que beau­coup de référenceurs expéri­men­tés pra­ti­quaient déjà intu­itive­ment. Ils ont apporté une com­préhen­sion plus fine des mécan­ismes d’é­val­u­a­tion de Google, notam­ment en ce qui con­cerne l’im­por­tance des sig­naux com­porte­men­taux. Cette con­fir­ma­tion nous per­met aujour­d’hui d’op­ti­miser nos pra­tiques avec plus de con­fi­ance et de pré­ci­sion.

L’expérience utilisateur au cœur de l’algorithme

L’un des enseigne­ments majeurs con­cerne le “click mod­el” et son impact sur le classe­ment des pages. Le com­porte­ment des util­isa­teurs — leurs clics, leur engage­ment, et surtout leur réten­tion — est devenu un sig­nal d’au­torité aus­si impor­tant que les back­links tra­di­tion­nels. Le temps passé sur une page n’est plus sim­ple­ment une métrique ana­lyt­ics : c’est un fac­teur déter­mi­nant du référence­ment.

Vers des contenus véritablement interactifs

Cette com­préhen­sion nous pousse à repenser fon­da­men­tale­ment la con­cep­tion de nos pages web. Le texte seul ne suf­fit plus : nous devons créer des expéri­ences engageantes qui inci­tent naturelle­ment les util­isa­teurs à rester et inter­a­gir. Con­crète­ment, cela se traduit par l’in­té­gra­tion d’élé­ments comme :

  • Des cal­cu­la­teurs et sim­u­la­teurs qui per­son­nalisent l’in­for­ma­tion
  • Des ques­tion­naires inter­ac­t­ifs qui guident les vis­i­teurs
  • Des quiz qui trans­for­ment la con­sul­ta­tion en expéri­ence active
  • Des out­ils de con­fig­u­ra­tion qui per­me­t­tent aux util­isa­teurs de per­son­nalis­er leur recherche
  • Des visu­al­i­sa­tions de don­nées qui ren­dent l’in­for­ma­tion plus acces­si­ble

L’homogénéité comme facteur clé

Un autre enseigne­ment cru­cial des leaks con­cerne l’im­por­tance de l’ho­mogénéité qual­i­ta­tive du site. Google ne cherche pas tant des pages excep­tion­nelles isolées qu’une cohérence glob­ale. Un site doit main­tenir un niveau de qual­ité con­stant à tra­vers l’ensem­ble de ses pages, qu’elles soient prin­ci­pales ou sec­ondaires. Cette approche holis­tique de la qual­ité nous oblige à porter une atten­tion par­ti­c­ulière à l’ensem­ble de notre con­tenu, pas unique­ment à nos pages vedettes.

L’optimisation des coûts

Les leaks nous ont égale­ment per­mis d’affin­er nos pra­tiques pour opti­miser le retour sur investisse­ment. En com­prenant mieux les sig­naux qui comptent vrai­ment, nous pou­vons con­cen­tr­er nos ressources sur les actions les plus impac­tantes. L’ob­jec­tif n’est plus de mul­ti­pli­er les con­tenus, mais de créer des expéri­ences plus rich­es et plus engageantes, même si cela sig­ni­fie pro­duire moins de pages.

Cette nou­velle com­préhen­sion du fonc­tion­nement de Google nous pousse à une approche plus stratégique et plus qual­i­ta­tive du SEO, où l’en­gage­ment util­isa­teur et l’ex­péri­ence inter­ac­tive pren­nent le pas sur les opti­mi­sa­tions tech­niques tra­di­tion­nelles.

 

4. E‑A-T : plus crucial que jamais

 

L’E-A‑T, qui s’est récem­ment enrichi d’un sec­ond “E” pour devenir E‑E-A‑T (Expe­ri­ence, Exper­tise, Author­i­ty, Trust), reste fon­da­men­tal dans la stratégie SEO. Cette évo­lu­tion souligne l’im­por­tance crois­sante de l’ex­péri­ence vécue dans l’étab­lisse­ment de la crédi­bil­ité en ligne.

Démonstration d’expertise personnelle

L’ex­per­tise ne se lim­ite plus aux con­nais­sances théoriques. Les con­tenus doivent désor­mais inté­gr­er des expéri­ences con­crètes et des insights per­son­nels qui démon­trent une véri­ta­ble maîtrise du sujet. Cette approche devient d’au­tant plus cru­ciale face à la mul­ti­pli­ca­tion des con­tenus générés par l’IA.

Construction de l’autorité off-site

Le netlink­ing tra­di­tion­nel con­serve toute sa per­ti­nence, mais avec une exi­gence accrue sur la qual­ité des sources. Les back­links provenant de sites recon­nus dans notre domaine d’ex­per­tise restent un pili­er de la con­struc­tion de l’au­torité. Les cita­tions et men­tions dans des médias spé­cial­isés ou général­istes con­tribuent égale­ment à ren­forcer la crédi­bil­ité d’un site ou d’un expert.

L’importance du Knowledge Graph

L’in­té­gra­tion dans le Knowl­edge Graph de Google est dev­enue incon­tourn­able. Elle passe par l’u­til­i­sa­tion sys­té­ma­tique des don­nées struc­turées et la con­struc­tion d’une présence en ligne cohérente à tra­vers dif­férentes plate­formes. Cette présence dans le graphe de con­nais­sances ampli­fie la vis­i­bil­ité et ren­force la con­fi­ance accordée à nos con­tenus.

 

5. Les autres évolutions majeures

Diversification des canaux de recherche

Le paysage de la recherche évolue sig­ni­fica­tive­ment. Si Google main­tient sa posi­tion dom­i­nante, de nou­veaux acteurs émer­gent et trans­for­ment les habi­tudes des inter­nautes. Les out­ils de recherche propul­sés par l’IA comme Per­plex­i­ty ou Chat­G­PT Search appor­tent une approche con­ver­sa­tion­nelle inno­vante.

En par­al­lèle, les réseaux soci­aux devi­en­nent de véri­ta­bles moteurs de recherche spé­cial­isés : YouTube pour les tuto­riels, Tik­Tok et Insta­gram pour les ten­dances, LinkedIn pour l’in­for­ma­tion pro­fes­sion­nelle. Cette évo­lu­tion pousse les pro­fes­sion­nels du SEO à dévelop­per une présence mul­ti­canale tout en main­tenant Google comme pri­or­ité.

Optimisation du maillage interne et du crawl budget

Face à l’ex­plo­sion du vol­ume de con­tenus en ligne, l’op­ti­mi­sa­tion du crawl bud­get devient stratégique. Un mail­lage interne intel­li­gent ne sert plus unique­ment à dis­tribuer le “jus SEO” : il guide les robots d’in­dex­a­tion vers nos con­tenus les plus

per­ti­nents. La con­struc­tion de ce mail­lage doit con­cili­er deux impérat­ifs : offrir une nav­i­ga­tion intu­itive aux util­isa­teurs tout en per­me­t­tant aux moteurs de recherche de com­pren­dre la struc­ture logique de notre site. Les ancres de liens doivent être diver­si­fiées et naturelles, évi­tant la sur-opti­mi­sa­tion qui pour­rait pénalis­er le référence­ment.

 

6. Perspectives pour 2025

 

La trans­for­ma­tion du SEO se pour­suit à un rythme soutenu, portée par plusieurs ten­dances majeures qui façon­nent déjà notre pra­tique quo­ti­di­enne.

La montée des recherches multimodales

L’évo­lu­tion la plus mar­quante con­cerne la diver­si­fi­ca­tion des modes de recherche. Les util­isa­teurs alter­nent désor­mais entre recherche vocale, visuelle et textuelle selon leur con­texte. Cette mul­ti­modal­ité trans­forme pro­fondé­ment l’op­ti­mi­sa­tion des con­tenus : un même sujet doit être acces­si­ble via dif­férents for­mats pour répon­dre à ces nou­veaux usages.

La recherche visuelle prend une impor­tance par­ti­c­ulière, notam­ment avec l’in­té­gra­tion de l’IA généra­tive. Les util­isa­teurs peu­vent désor­mais rechercher à par­tir d’im­ages qu’ils ont générées ou mod­i­fiées, ouvrant de nou­velles per­spec­tives pour l’op­ti­mi­sa­tion des con­tenus visuels.

L’éthique numérique dans le SEO

L’éthique devient un enjeu cen­tral de notre pra­tique. Face à la mul­ti­pli­ca­tion des con­tenus générés par l’IA, la trans­parence sur l’o­rig­ine et la nature de nos pro­duc­tions devient cru­ciale. Les util­isa­teurs, de plus en plus sen­si­bles à ces ques­tions, priv­ilégient les con­tenus authen­tiques et sour­cés.

Cette dimen­sion éthique s’é­tend égale­ment à la pro­tec­tion des don­nées util­isa­teurs et à l’op­ti­mi­sa­tion respon­s­able. Le SEO de 2025 devra trou­ver un équili­bre entre per­for­mance et respect des principes éthiques fon­da­men­taux.

L’évolution constante des compétences

Le méti­er de référenceur con­tin­ue sa muta­tion.

La maîtrise des out­ils d’IA, la com­préhen­sion des nou­veaux for­mats de recherche et l’adap­ta­tion aux évo­lu­tions des algo­rithmes exi­gent une mise à jour con­stante de nos com­pé­tences. Cette adapt­abil­ité devient la clé de la péren­nité dans notre pro­fes­sion.

Le SEO demande dès aujour­d’hui une approche tou­jours plus holis­tique, mêlant exper­tise tech­nique, créa­tiv­ité et com­préhen­sion fine des enjeux éthiques et socié­taux du numérique.

 

Auteurs : Claude.ai (beau­coup) et O.Corneloup (un peu)

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